Newsletter 35 Projecteur sur Roland BERTRAND
Chers Amis, Bonjour,
Poursuite de nos Newsletter, elle concerne Roland BERTRAND, soigneur du groupe Cadets et le boute-en-train (ancien cheminot) de l’activité Rugby Santé.
Roland a répondu à nos questions avec la franchise et la bonhomie qui le caractérise .
Amitiés Sportives.
Alain Sanciaume
Cher Ami (e), Bonjour, Présentes toi, et quel est ton cursus sportif !
Salut, Roland Bertrand 30 ans hors taxe, j’ai commencé gamin sur les tatamis en faisant mes classes au judo, pour finir sur des patins à glace à 17ans, au début en tant qu’hockeyeur puis en tant qu’arbitre national.
Quelle catégorie diriges-tu au niveau de notre club ?
En ce moment je suis en Cadets catégorie M16, mais j’ai toujours jonglé entre les catégories en tant que soigneur, puis j’ai fait une petite pause terrain pour intégrer le club house. Mais j’avoue, le pré me manquait trop, donc me revoici soigneur auprès des équipes. Je participe à l’activité rugby santé dans la joie et la bonne humeur !
Qu’est-ce qui t’a amené à être dirigeant(e) au RCAGR ?
Depuis toujours j’ai suivi mon fils Adrien sur tous les terrains, que ce soit au début au rugby à XIII puis à XV. Au départ impliqué à moitié dans le milieu associatif, j’ai rencontré Jacky, Mimi dit « Mirabelle » et Francis qui m’ont donné envie de m’investir à 100%. Par la suite j’ai rencontré de magnifiques personnes, en écrivant ces mots j’ai une pensée toute particulière pour mon pote Marco (Marc Vaudelin).
Que représente le rugby pour toi ?
A cette question je ne serais pas original car tous les collègues dirigeants qui ont répondu à cette newsletter ont pu donner tous les adjectifs et superlatifs qui définissent le rugby. Je retiendrai toujours cette expression « le rugby est l’école de la vie », la vie change au fil des années comme ce sport, il y a des moments de peine et des moments de joie enivrants qui restent gravés.
Quel est ton club préféré autre que le RCAGR, regardes-tu les matchs de l’équipe de France ?
Je ne fais pas mon helvétique, mais je n’ai pas de club favori. J’aime le spectacle, le jeu de champ avec de grandes envolées et le défi du « un contre un ». Pour l’équipe de France, je l’ai toujours suivie et encore plus maintenant car je retrouve ce beau jeu, ce « french flair » comme disent les rosbifs.
Si tu as joué ou avais joué au rugby, quel aurait été ton poste de prédilection et pourquoi ?
Soigneur je suis, soigneur je reste, car il est important ce rôle avec d’un côté son sac de Mimie Mathy et de l’autre son éponge magique, et puis je suis comme un joueur j’ai des anecdotes de vestiaire. Blague à part, le poste de champ que j’aime est l’ailier car « quand la balle est à l’aile, la vie est belle », et en ce moment les gens de petite taille comme moi sont en vue aux ailes (Kolbe, Retiere).
Quel est ton meilleur souvenir sportif ?
Je pourrais vous conter des arbitrages de stars du hockey qui deviendront pour certains des chanteurs (Roch Voisine) mais à vrai dire j’ai vécu 2 grands moments qui m’ont marqué : le premier c’est un match du tournoi au stade de France avec ma femme et mon fils, son premier match : France-Angleterre, un match épique qui se solde par une victoire de la France, en plus cette année-là, elle gagne son premier grand chelem des 6 nations. Le second c’est mon fils qui me l’a fait vivre lorsqu’il a été champion de France avec le Vaucluse à XIII, un week-end mémorable.
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